L’éthique perdue

On va regarder d’un peu plus près tout ce que les éditeurs oublient de vous dire, en sachant que l’omission reste un mensonge discret, un adultère de la pensée, une chose inavouable et inexcusable venant de ces vendeurs d’intelligence, censés être en règle avec la philosophie de base, celle de l’éthique notamment, de la bienséance intellectuelle dont ils devraient être les gardiens.

Le tabou du contrat d’édition

L’éditeur (encore faut-il qu’il accepte votre manuscrit en vous situant dans les 0,016 % d’admis) est la personne ou l’entreprise qui va retenir votre ouvrage et vous proposer un contrat d’édition qui vous tiendra pieds et mains liés avec des clauses bien particulières et contraignantes, pour ne pas dire abusives.
Tout est dans le contrat, le restant est dans les promesses verbales de l’éditeur.
Lire le contrat, le disséquer et le comprendre, c’est refuser à 100 % une telle offense envers les auteurs, à moins d’être masochiste.
Recevant des centaines de manuscrits, l’éditeur est en position de force et n’accepte que très rarement de modifier le contrat, qui de toute façon restera toujours en sa faveur et en votre entière défaveur.
Le contrat d’édition est une atteinte à la souveraineté de l’écrivain. Penser le contraire relève d’une pathologie mentale et demande d’aller consulter un psychiatre en urgence !
Quand vous aurez compris tout le concept au travers de ma méthode inédite d’écolecture, vous rirez avec moi de cette couillonnade de contrat d’édition qui vous enferme et pénalise votre potentiel tout en vous paupérisant, allant même jusqu’à confisquer votre droit le plus élémentaire, celui d’auteur absolu ! Un vrai scandale !
Avec ma méthode d’écolecture, nul besoin d’un contrat d’édition !

Le tabou du marketing

Lorsque vous abordez les moyens mis en œuvre par l’éditeur comme celui du marketing et la provision du budget alloué à ce dernier pour atteindre l’objectif d’une vente optimisée de votre livre, il tousse. C’est normal et l’on comprend pourquoi quand on remarque la complexité d’être éditeur aujourd’hui. Plus que jamais, les éditeurs sont en concurrence avec les circuits numériques, et leurs marges difficiles à maintenir. C’est seulement un pourcentage réduit de livres qui doit fournir la marge principale pour faire tourner la boutique.
En réalité, on peut légitimement soupçonner les éditeurs de jouer au tiercé avec vos manuscrits en soutenant financièrement les favoris par un apport de publicité, seul garant d’un minimum de rentabilité. En effet, l’espoir ne vient pas de votre contenu, mais de la priorité commerciale accordée par l’éditeur à votre ouvrage. C’est terrible à entendre, mais c’est la triste vérité.
Eh oui ! L’éditeur, même s’il arbore au dos de son fauteuil en cuir fauve une bibliothèque luxuriante qui impose le respect et laisse entrevoir une masse insolente d’érudition, n’en reste pas moins un commercial, un chef d’entreprise pris dans l’étau des contraintes financières. Il est assujetti à un minimum de rentabilité pour survivre.
L’éditeur est bien un entrepreneur commercial, dont le succès dépend avant tout de la qualité de la mise en œuvre des outils de marketing, qu’on le veuille ou non.
Le livre est un produit comme un autre, identique à une brosse à dents. Vous trouvez la comparaison scandaleuse ? Pourtant, les grands éditeurs vendent des livres comme si c’étaient des brosses à dents ! C’est la pure vérité ! Demandez à tout expert en marketing…
La base du marketing n’est pas le produit, mais l’art et la manière de vendre celui-ci, même si le produit est pourri.
Je ne vais pas aborder ici tous les aspects du marketing qui a déjà acquis toutes ses lettres de noblesse en réussissant à vendre des produits inutiles à des acheteurs incrédules et sensibles aux sirènes des médias et autres influenceurs du moment. Le monde lui-même est devenu une marchandise, ne vous en êtes-vous pas rendu compte ?

Avec ma méthode d’écolecture, vous accédez au système de marketing le plus efficace, inédit et gratuit pour débuter (on verra ce sujet dans les étapes de la méthode elle-même).